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MOUSTIQUES TIGRES EN HAUTE-GARONNE


Derattack - 08/25/2022 - 0 comments

Moustiques Tigres en Haute-Garonne

Comment le moustique tigre a colonisé Toulouse et la Haute-Garonne en moins de dix ans

 

En 2012, un agent du service animal de la Ville de Toulouse se rend dans le quartier des Pradettes, dans le cadre d’une enquête de terrain réalisée à la demande d’un particulier. Pour la première fois est alors détectée la présence du moustique tigre dans la Ville rose.

Détecté dans 188 communes

750 millions de moustiques

Détecté dans 188 communes

« En Haute-Garonne, depuis sa colonisation de Toulouse en 2012, il poursuit sa progression. Les résultats de la surveillance entomologique obtenus en 2020 confirment la présence du moustique tigre dans 188 communes . » .

Un moustique vecteur potentiel de maladies

Si les autorités surveillent chaque année de près ce moustique , « c’est en raison de sa capacité à transmettre, sous certaines conditions, des maladies infectieuses, aussi appelées « arboviroses », comme les virus du chikungunya, de la dengue et Zika. Le moustique tigre n’est pas intrinsèquement porteur de virus en Haute-Garonne. Il ne peut le transmettre que s’il a piqué une personne malade auparavant »,

Les moustiques en pleine période de développement

Evidemment, « chacun a son rôle à jouer pour limiter la présence du moustique » en contrôlant son environnement et en veillant à vérifier l’absence de rétentions d’eau après de fortes pluies. « Outre sa capacité à transmettre des maladies, le moustique tigre est avant tout un insecte générant de fortes nuisances .

halte aux nuisibles

Un animal qui a certains points faibles

« Le point faible principal de ce moustique réside dans sa faible capacité à se disperser. Ainsi, toute nuisance ressentie prend son origine à proximité, car un moustique tigre vole moins de 150 m dans sa vie.

Des gestes barrières à respecter

« C’est la somme des mesures de lutte contre les gîtes et contre les piqûres qui permet d’éviter le risque de transmission de maladie », ajoute encore le cadre de Santé de l’ARS. « Dans les 2 semaines suivant son retour de voyage, il est impératif de consulter rapidement son médecin, dès l’apparition de symptôme, et de lui signaler ce voyage pour le diagnostic », conseille l’ingénieur sanitaire de l’ARS.

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