LA PROLIFÉRATION DES CHENILLES PROCESSIONNAIRES
LA PROLIFÉRATION DES CHENILLES PROCESSIONNAIRES
Contre la prolifération des chenilles processionnaires
un arrêté préfectoral oblige à lutter contre la prolifération des chenilles processionnaires
Ardennes : Le préfet des Ardennes Alain Bucquet a signé un arrêté préfectoral qui porte sur « l’obligation de lutte contre les proliférations des chenilles processionnaires du pin et du chêne ».

« Les propriétaires, locataires, exploitants, gestionnaires de terrains bâtis et non bâtis, ayants droit ou occupant à quelque titre que ce soit sont tenus de mener des actions visant à empêcher et à détruire sans délai les proliférations de processionnaires », peut-on lire dans l’arrêté préfectoral. Ces actions doivent être mises en œuvre par des personnes formées et dotées d’équipements de protection individuels adaptés.
Les rats des villes et la prochaine pandémie
Les rats des villes et la prochaine pandémie
Les rats des villes sans doute pas à l’origine de la prochaine pandémie
Les rongeurs et autres animaux citadins seraient en fait moins susceptibles de provoquer la prochaine pandémie qu’on ne le pensait
propagateurs de maladies
Les rats sont vus comme des propagateurs de maladies depuis au moins l’époque de la peste, mais de nouvelles recherches montrent que les rongeurs et autres animaux citadins sont en fait moins susceptibles de provoquer la prochaine pandémie qu’on ne le pensait.
Des chercheurs de l’Université de Georgetown à Washington ont étudié des données sur près de 3 000 mammifères, s’attendant à découvrir que ceux qui vivent dans des environnements urbains hébergeaient davantage de virus pouvant être transmis aux humains.
100 fois plus d’études que les autres
Ils ont en fait découvert que les animaux urbains hébergeaient certes 10 fois plus de types de maladies, mais qu’un biais méthodologique pouvait être en cause : ils ont fait l’objet de 100 fois plus d’études que leurs homologues ruraux. Une fois ce biais massif corrigé, les chercheurs ont été surpris de constater que les rats n’étaient pas plus susceptibles d’être à l’origine d’une nouvelle maladie que d’autres animaux.
éponges à maladies
Mais les humains étant en contact régulier avec des rats, il est toujours juste de les décrire comme des « éponges à maladies », a déclaré Jonathan Richardson, professeur d’écologie urbaine à l’Université de Richmond.
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